đŸ‡șđŸ‡Č​ Concentration record : 7 gĂ©ants de la Tech pĂšsent 30 % du S&P 500

On parle des gĂ©ants du CAC 40 qui empruntent Ă  des taux plus bas que l’État, de la fin des privilĂšges Ă  vie des ex-ministres, de la fiscalitĂ© des donations, de la chute du dollar face Ă  l’euro et des biens qataris en France. Pour le dĂ©cryptage : la concentration des valeurs tech dans le S&P 500.

Économix
7 min ⋅ 18/09/2025

Voici ce que j’ai pour vous cette semaine :

LES GÉANTS DU CAC 40 EMPRUNTENT DÉSORMAIS À DES TAUX PLUS FAIBLES QUE L’ÉTAT FRANÇAIS

Un paradoxe secoue actuellement la finance française : les grandes entreprises nationales empruntent dĂ©sormais Ă  des taux plus avantageux que l’État lui-mĂȘme. Ce renversement symbolique traduit Ă  la fois la dĂ©fiance croissante des marchĂ©s envers la dette souveraine et la confiance accordĂ©e aux champions privĂ©s. Selon les donnĂ©es compilĂ©es par Goldman Sachs, les obligations de groupes comme L’OrĂ©al, Airbus ou Axa affichent des rendements infĂ©rieurs Ă  ceux des OAT (obligations assimilables du TrĂ©sor) de maturitĂ© Ă©quivalente. MĂȘme LVMH, dont une obligation 2033 se traitait encore avec une prime de risque de 0,2 Ă  0,6 point au-dessus de la dette française, cote dĂ©sormais en dessous du souverain. Traditionnellement, c’est l’État qui est censĂ© offrir la plus grande sĂ©curitĂ© : ses emprunts sont perçus comme les moins risquĂ©s, car il est supposĂ© ne jamais faire dĂ©faut. Les entreprises, elles, paient gĂ©nĂ©ralement plus cher, car considĂ©rĂ©es comme plus vulnĂ©rables. Mais la tendance s’inverse. ConcrĂštement, pour certaines multinationales françaises, les investisseurs exigent aujourd’hui un taux d’intĂ©rĂȘt plus faible que pour la France. Les raisons sont claires : ces groupes solides inspirent davantage de confiance dans leur gestion financiĂšre que l’État, dont la dette reste plombĂ©e par un dĂ©ficit structurel et une instabilitĂ© politique accrue. Dans la zone euro, l’Allemagne conserve son statut de rĂ©fĂ©rence « sans risque », mais la France fait figure d’exception. Dix entreprises françaises empruntent actuellement Ă  des taux plus bas que l’État, une premiĂšre depuis 2006. La dĂ©mission de François Bayrou, deuxiĂšme Premier ministre Ă  quitter Matignon en moins d’un an, a accentuĂ© ces tensions. Les marchĂ©s sanctionnent l’instabilitĂ© politique et l’absence de trajectoire crĂ©dible de rĂ©duction du dĂ©ficit. Vendredi dernier, l’agence Fitch a d’ailleurs abaissĂ© la note de crĂ©dit de la France, Ă©voquant une polarisation politique « accrue et durable ».

LECORNU MET FIN AUX “AVANTAGES À VIE” DES ANCIENS PREMIERS MINISTRES DÈS 2026

Alors qu’il doit prĂ©parer un nouveau budget avant 2026, le Premier ministre SĂ©bastien Lecornu a Ă©tĂ© interrogĂ© sur les avantages accordĂ©s aux anciens membres du gouvernement. Dans un entretien Ă  Ouest-France, il a estimĂ© qu’il n’était plus possible de demander aux Français de « faire des efforts si ceux qui sont Ă  la tĂȘte de l’État n’en font pas ». Il a ainsi annoncĂ©, dĂšs 2026, la fin des derniers privilĂšges « accordĂ©s Ă  vie » Ă  certains ex-ministres. Les pensions de retraite, calculĂ©es en fonction de la durĂ©e passĂ©e au gouvernement, peuvent atteindre jusqu’à 10 000 euros brut par mois pour un ministre et 15 000 euros pour un ancien Premier ministre. À cela s’ajoutent divers avantages. Parmi eux : une voiture avec chauffeur, accordĂ©e uniquement aux anciens Premiers ministres sur demande expresse, ou encore un secrĂ©taire particulier, attribuĂ© pour une durĂ©e maximale de dix ans et jusqu’à 67 ans. En 2024, ces avantages ont reprĂ©sentĂ© un coĂ»t total de 1,6 million d’euros. Les anciens Premiers ministres et ministres de l’IntĂ©rieur bĂ©nĂ©ficient Ă©galement d’une protection policiĂšre. Rien que pour la protection des dix anciens Premiers ministres en 2019, la facture avait atteint 2,8 millions d’euros. Au total, les anciens chefs de gouvernement coĂ»tent au moins 4,5 millions d’euros par an Ă  l’État. S’agissant des anciens prĂ©sidents de la RĂ©publique, depuis 2016, ils disposent d’un cabinet de sept membres et de deux agents de service pendant cinq ans, puis d’un cabinet rĂ©duit Ă  trois collaborateurs et un agent de service Ă  vie. À cela s’ajoutent des locaux meublĂ©s, la prise en charge des frais de rĂ©ception et de dĂ©placement, un vĂ©hicule avec chauffeur et une protection personnelle permanente.

LA FRANCE FAIT PARTIE DES PAYS D’EUROPE QUI TAXENT LE PLUS LES SUCCESSIONS ET DONATIONS

Selon les donnĂ©es compilĂ©es par la Tax Foundation, la taxation des successions et donations en France varie entre 5 % et 60 %, des niveaux comparables Ă  l’Allemagne (7 % Ă  50 %). Ces taux grimpent jusqu’à 80 % en Belgique et 87 % en Espagne, tandis qu’ils sont plafonnĂ©s Ă  20 % au Portugal et 8 % en Italie. Pour comprendre concrĂštement le systĂšme français, il faut rappeler qu’il existe des abattements qui permettent Ă  un donateur (celui qui transmet un bien ou une somme d’argent) de ne pas payer de droits de mutation Ă  titre gratuit (DMTG), c’est-Ă -dire l’impĂŽt prĂ©levĂ© par l’État lors d’une donation du vivant ou d’une succession au dĂ©cĂšs. Ces abattements varient selon le lien de parentĂ© entre le donateur et le donataire (celui qui reçoit la transmission). Par exemple, un enfant peut recevoir jusqu’à 200 000 euros de ses parents (100 000 par parent) tous les 15 ans. Entre un grand-parent et un petit-enfant, l’abattement est fixĂ© Ă  31 865 euros, tandis qu’entre frĂšre et sƓur, il est de 15 932 euros, toujours sur une pĂ©riode de 15 ans. Une fois l’abattement dĂ©duit, les droits de donation s’appliquent selon un barĂšme progressif qui dĂ©pend du lien de parentĂ©. En ligne directe, le taux est de 5 % entre 1 et 8 072 euros, 20 % entre 15 932 et 552 324 euros, ou encore 30 % entre 552 324 et 902 838 euros.

LE DOLLAR AMÉRICAIN CHUTE DE 14% FACE À L’EURO EN 2025

Le billet vert vient d’atteindre son plus bas niveau en quatre ans face Ă  la monnaie unique. Un euro s’échange aujourd’hui contre 1,18 dollar, alors qu’il valait 0,96 dollar en 2022. MĂȘme tendance pour le Dollar Index — l’indice qui mesure la valeur du dollar face Ă  un panier de devises comprenant l’euro, le yen, la livre sterling, le dollar canadien, la couronne suĂ©doise et le franc suisse — qui affiche une baisse de 11,5 % depuis janvier. Un signe clair que la devise amĂ©ricaine est en perte de vitesse. La situation pourrait encore se dĂ©grader avec la dĂ©cision de la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale. Hier soir, la Fed a annoncĂ© une baisse d’un quart de point de ses taux directeurs, pour les ramener Ă  4,25 %, dans un contexte oĂč le marchĂ© de l’emploi montre des signes d’essoufflement. D’un point de vue Ă©conomique, des taux plus bas gonflent l’offre de dollars et rĂ©duisent l’attrait des actifs libellĂ©s en USD. D’abord sur le marchĂ© des changes : des rendements plus faibles sur les obligations d’État amĂ©ricaines incitent les investisseurs Ă  vendre du dollar pour se tourner vers d’autres devises, ce qui pĂšse sur sa valeur. Ensuite, sur le crĂ©dit : des taux plus faibles favorisent les emprunts, Ă©largissant la masse monĂ©taire et augmentant l’offre de dollars. Pour les États-Unis, un dollar affaibli renchĂ©rit les importations, augmentant les coĂ»ts de production et les prix pour les mĂ©nages, ce qui alimente des pressions inflationnistes. En revanche, les exportations deviennent plus compĂ©titives, les produits amĂ©ricains apparaissant moins chers pour les acheteurs Ă©trangers. Un effet de change dont nous reparlerons bientĂŽt sous l’angle des investisseurs exposĂ©s au dollar.

LE QATAR DÉTIENT 20% DES BIENS IMMOBILIERS DES CHAMPS-ÉLYSÉES

PrĂšs de 390 mĂštres de façades, sur les 1,3 km de « la plus belle avenue du monde », appartiennent aujourd’hui Ă  des familles et fonds qataris, selon Le Monde. Les murs des Galeries Lafayette, du Monoprix ou encore le futur projet de la marque Louis Vuitton sur les Champs-ÉlysĂ©es figurent parmi les actifs dĂ©tenus par le Qatar. Cette stratĂ©gie d’investissements massifs s’explique en partie par des accords bilatĂ©raux signĂ©s dans les annĂ©es 1990 entre la France et l’émirat, qui octroient aux ressortissants qataris des avantages fiscaux exceptionnels. ConcrĂštement, sur les plus-values immobiliĂšres, les rĂ©sidents qataris peuvent ĂȘtre exonĂ©rĂ©s d’impĂŽt en France lors de la cession d’immeubles (ou de certaines dĂ©tentions via sociĂ©tĂ©s), sous conditions spĂ©cifiques. Pour les dividendes, intĂ©rĂȘts et redevances, la convention prĂ©voit des exonĂ©rations ou une imposition limitĂ©e en France, souvent taxable uniquement au Qatar, oĂč l’impĂŽt est faible, voire inexistant. RĂ©sultat : une imposition globale trĂšs rĂ©duite. En matiĂšre d’impĂŽt sur la fortune, un rĂ©gime dĂ©rogatoire existe Ă©galement, avec des exonĂ©rations sur certains biens situĂ©s en France, en fonction de leur nature et des conditions prĂ©vues par le traitĂ©. Ces rĂšgles, inscrites dans un accord international entrĂ© en vigueur en 2009 aprĂšs un avenant signĂ© en 2008, avaient pour objectif d’attirer les capitaux qataris. Elles expliquent l’ampleur des acquisitions rĂ©alisĂ©es depuis, notamment dans l’immobilier de prestige et les participations stratĂ©giques. Sur les Champs-ÉlysĂ©es, la valeur des transactions se chiffre en centaines de millions d’euros. Selon le cabinet Cushman & Wakefield, la valeur locative annuelle des commerces atteint jusqu’à 17 000 euros par mĂštre carrĂ© pour les petites surfaces (moins de 1 000 mÂČ), et environ 12 000 euros par mĂštre carrĂ© pour les grandes enseignes.


Partenaire - Collaboration commerciale
Un bonus de 1% sur vos investissements en Private Equity

Trade Republic

🚀 Le Private Equity devient accessible avec Trade Republic

Le private equity, c’est investir dans des entreprises non cotĂ©es via des fonds spĂ©cialisĂ©s avec un horizon long. Et l’intĂ©rĂȘt explose : selon France Invest & Quantalys, la collecte “non cotĂ©â€ a progressĂ© de +29 % en 2024 (≈ 2,65 Md€ vs 2,04 Md€ en 2023).

💡 Comment ça marche ?
Des Ă©pargnants mettent leur argent dans un fonds ; le gĂ©rant sĂ©lectionne des entreprises, les accompagne (recrutements, digitalisation, fusions, international
), puis revend au bon moment. (C’est un placement de long terme, potentiellement moins liquide que la Bourse.) L’horizon est long mais le rendement annuel moyen cible du marchĂ© sur plusieurs annĂ©es gravite autour des 12%.

Avec Trade Republic, vous pouvez dĂ©sormais y accĂ©der dĂšs 1 € :

  • AccĂšs Ă  des fonds gĂ©rĂ©s par des acteurs de premier plan comme Apollo (≈700 Md€ d’encours) et EQT (leader europĂ©en, 30+ ans d’expĂ©rience).

  • Un outil pour diversifier votre Ă©pargne au-delĂ  des actions cotĂ©es.

  • Investissement progressif et fractionnĂ© possible.

🎁 Bonus lancement jusqu’au 14 octobre 2025
+1 % sur tous vos investissements dans le segment non coté.
Exemple : vous investissez 1 000 €, +10 € ajoutĂ©s par Trade Republic.

Pour bénéficier du bonus, ouvrez votre compte Trade Republic en cliquant sur le lien suivant : Commencer à investir dans les Private Markets

L'investissement comporte un risque de perte en capital. Les intĂ©rĂȘts et les gains financiers sont soumis aux prĂ©lĂšvements fiscaux et sociaux. Les performances passĂ©es ne garantissent pas les rĂ©sultats futurs. Les fonds non-cotĂ©s sont des investissements Ă  long terme et ne devraient reprĂ©senter qu’une partie du portefeuille total.


L’exploration Éco de la semaine

L’information a tout d’un paradoxe : l’indice le plus suivi du monde, censĂ© incarner la diversification boursiĂšre par excellence, n’a jamais Ă©tĂ© aussi concentrĂ©. En 2025, six entreprises – Nvidia, Microsoft, Apple, Alphabet, Amazon et Meta – pĂšsent Ă  elles seules plus de 30 % du S&P 500. Une domination sans prĂ©cĂ©dent, trois fois supĂ©rieure Ă  celle d’il y a dix ans.

Quand quelques géants portent la cote

DerriĂšre la progression de prĂšs de 9,8 % du S&P 500 depuis le dĂ©but de l’annĂ©e, les chiffres sont parlants : Nvidia, Microsoft et Meta expliquent Ă  eux seuls prĂšs de la moitiĂ© de la hausse, soit 270 points sur 579. Un moteur puissant, mais fragile : si l’un de ces colosses trĂ©buche, c’est tout l’indice qui risque de vaciller.

Ce phĂ©nomĂšne alimente un dĂ©bat brĂ»lant Ă  Wall Street. Pour certains, cette concentration est inquiĂ©tante : elle fragilise la diversification des portefeuilles et transforme le S&P 500 en pari technologique dĂ©guisĂ©. Pour d’autres, elle est lĂ©gitime : la “tech des Magnificent Seven” mĂ©rite son poids, portĂ©e par une croissance de bĂ©nĂ©fices hors norme.

Les “Magnificent Seven” (ou les Sept Magnifiques) est le surnom donnĂ© Ă  un petit groupe de gĂ©ants technologiques amĂ©ricains qui dominent la Bourse et tirent l’essentiel de la performance des indices comme le S&P 500 ou le Nasdaq.

Il s’agit de :

  • Nvidia (puces et intelligence artificielle)

  • Microsoft (logiciels, cloud, IA)

  • Apple (iPhone, services, hardware premium)

  • Alphabet (Google) (recherche, publicitĂ©, cloud, IA)

  • Amazon (e-commerce, AWS cloud, IA)

  • Meta Platforms (Facebook, Instagram, WhatsApp, mĂ©tavers, IA)

  • Tesla (voitures Ă©lectriques, Ă©nergie, IA auto)

Ces sept entreprises reprĂ©sentent aujourd’hui plus de 30 % de la capitalisation du S&P 500, un poids jamais vu dans l’histoire moderne des marchĂ©s.

Le surnom fait référence au western culte Les Sept Mercenaires (The Magnificent Seven, 1960), repris par les analystes pour illustrer leur domination collective.

Une croissance hors standard

Les chiffres semblent donner raison aux optimistes. Au deuxiĂšme trimestre, les bĂ©nĂ©fices des cinq plus grandes valeurs (Nvidia, Microsoft, Apple, Alphabet, Amazon) ont progressĂ© de 26 %, bien au-delĂ  de la prĂ©vision de 15 % compilĂ©e par Bloomberg Intelligence. À titre de comparaison, l’ensemble du S&P 500 n’a enregistrĂ© “que” +11 % sur la mĂȘme pĂ©riode.

« Ces entreprises ont mĂ©ritĂ© leur pondĂ©ration », insiste Scott Chronert, directeur gĂ©nĂ©ral de Citi Research. Selon lui, mĂȘme le ratio PEG (cours/bĂ©nĂ©fice/croissance) des “Mag 7” n’est pas sensiblement diffĂ©rent de celui du reste du marchĂ©. Autrement dit : tant que la croissance des profits se confirme, la valorisation n’a rien d’excessif.

Un risque masqué par la puissance financiÚre

Ces mĂ©gacapitalisations ont un autre atout : elles gĂ©nĂšrent d’énormes flux de trĂ©sorerie, quelles que soient les conditions macroĂ©conomiques. De quoi en faire des valeurs Ă  la fois de croissance et de dĂ©fense, dans un environnement volatil.

Elles bĂ©nĂ©ficient en outre d’un contexte politique favorable. L’administration Trump a assoupli certaines politiques commerciales punitives, un coup de pouce bienvenu pour ces multinationales mondialisĂ©es.

Nvidia, symbole d’une surconcentration

Mais derriĂšre la soliditĂ© apparente, une rĂ©alitĂ© s’impose : l’indice phare de Wall Street est aujourd’hui dominĂ© par un petit cercle de valeurs. Nvidia, en particulier, occupe une place historique : prĂšs de 8 % du S&P 500 Ă  elle seule, la plus forte pondĂ©ration d’une action individuelle depuis le dĂ©but des donnĂ©es en 1981.

Un constat qui fait grincer des dents. « La premiĂšre page de tout manuel de finance recommande de diversifier ses investissements », rappelle Torsten Slok, Ă©conomiste en chef d’Apollo Global Management. « Or aujourd’hui, investir dans le S&P 500 n’a plus rien de diversifiĂ©. »


👉 Les “Magnificent Seven” resteront sans doute les moteurs de Wall Street tant que leurs bĂ©nĂ©fices surpasseront les attentes. Mais leur domination transforme progressivement le S&P 500 en pari concentrĂ©, oĂč la moindre dĂ©faillance pourrait faire trembler l’ensemble du marchĂ©.


Le Graph’ de la semaine


Les offres de parrainages

  • ActualitĂ©s boursiĂšres et financiĂšres - Zonebourse : Naviguez sur la meilleure plateforme d’analyse financiĂšre et boursiĂšre : Abonnez-vous dĂšs maintenant

  • Banque - Trade Republic : Trade Republic est la plateforme d'Ă©pargne en ligne avec plus de 8 millions de clients en Europe qui vous permet de le faire Ă  partir de 1€. Recevez 2% d'intĂ©rĂȘts sur vos espĂšces et 1% de Saveback sur vos dĂ©penses. Obtenez 10€ offerts en ETF en passant par ce lien : Ouvrir un compte

  • Banque - Code Promo BoursoBank : Ouvrez un compte BoursoBank et gagnez jusqu'Ă  150 € Ă  l'ouverture en vous faisant parrainer : Ouvrir un compte

  • Crowdfunding immobilier - Code Promo La PremiĂšre Brique : BĂ©nĂ©ficiez de 1% de rendement supplĂ©mentaire sur votre 1er investissement : Ouvrir un compte

Communication Ă  caractĂšre promotionnel


Merci d'avoir pris le temps de lire cet article. À la semaine prochaine !

Laurent - Cosmos Finance

Économix

Économix

Par Laurent Cosmos Finance

L’économie pour tous. Vraiment pour tous.

Je m’appelle Laurent, fondateur de Cosmos Finance, et depuis 2022, je me suis donnĂ© une mission : rendre l’économie intelligible, utile et accessible Ă  chacun.

Sur TikTok et Instagram, mais aussi dans ma newsletter, je vulgarise l’actualitĂ© Ă©conomique, les grands concepts financiers et les stratĂ©gies concrĂštes qui permettent de mieux comprendre le monde qui nous entoure. Parce que l’économie n’est pas qu’une affaire d’experts : c’est ce qui dĂ©termine le prix de ton logement, ton pouvoir d’achat, la stabilitĂ© de ton job ou la rentabilitĂ© de ton Ă©pargne.

Une conviction : la connaissance Ă©conomique, c’est un droit

Je crois profondĂ©ment qu’un citoyen bien informĂ© est un citoyen plus libre. Aujourd’hui encore, le manque de culture Ă©conomique est un vrai facteur d’inĂ©galitĂ© — il freine la mobilitĂ© sociale, la comprĂ©hension des enjeux publics, et l’autonomie financiĂšre. Ce n’est pas une fatalitĂ©.

Mon objectif ? Que tu te sentes suffisamment confiant pour naviguer dans ce monde Ă©conomique souvent intimidant, que tu sois salariĂ©, entrepreneur, Ă©tudiant ou investisseur dĂ©butant. Comprendre l’économie, ce n’est pas un luxe. C’est une nĂ©cessitĂ©. Et si mes contenus peuvent t’aider Ă  y voir plus clair, Ă  faire de meilleurs choix, Ă  prendre en main ton avenir
 alors ma mission est remplie.

Bienvenue dans Cosmos Finance. L’économie comme tu ne l’as jamais vue.

À bientît !

Laurent - Cosmos Finance

Les derniers articles publiés